Cet article du 13 mai paru au «Luxemburger Wort» a été traduit et imprimé à l’occasion du dossier sur le télétravail.

La crise sanitaire nous oblige à nous remettre en question. Un monde nouveau va s’imposer à nous sans qu’on l’ait imaginé, pressenti, ni appréhendé. Il faut l’accueillir avec optimisme et conviction. Nous avons été forcés par les évènements à nous organiser différemment et à travailler différemment. Nous ne nous y étions pas préparés et ceux qui ont pu continuer à travailler ont dû le faire à distance, physiquement isolés de leurs collègues, et en se débrouillant comme ils l’ont pu. Certains se sont révélés plus agiles que d’autres, car ils ont pu mettre en œuvre des outils et des logiciels qu’ils avaient appris et déjà pratiqués. Mais la plupart se sont sentis entravés et loin de leurs collègues. Ils n’ont pas pu faire appel à eux pour les aider aussi facilement que s’ils étaient assis en face d’eux ou dans le bureau d’à côté. Une connaissance superficielle ne suffit plus et ne suffira certainement plus à l’avenir.

Des débutants aux initiés, tous reconnaissent aujourd’hui l’absolue nécessité de maîtriser les outils de communication, les logiciels bureautiques et les nouvelles façons de collaborer et de partager l’information.

Au-delà de la maîtrise des outils, il faudra aussi pouvoir adopter une attitude, un comportement basé sur la communication et la collaboration à distance. Il va falloir développer un charisme à distance, il va falloir rayonner sans contact présentiel.

Et tout ceci peut s’apprendre et s’améliorer continuellement !

La société Key Job, leader de la formation utilisateurs au Luxembourg, s’est focalisée ces dernières semaines sur tous ces besoins. Elle a mis en place un système de tests très facile à implémenter, et qui définissent le niveau des connaissances acquises dans ces domaines. Et à partir des résultats de ces tests, elle offre des programmes de formations ajustés aux niveaux des apprenants.

Inutile de préciser que ces différentes formations se font aujourd’hui essentiellement à distance et continueront à se dérouler ainsi en grande partie à l’avenir.  

Et elles s’adressent aussi bien au secteur privé (petites, moyennes et grandes entreprises) qui représente 60% de son activité, qu’au secteur public qui en représente 40% (la société est entre autre fournisseur exclusif de formation « end users » des Institutions Européennes).

Vous pensez qu’il est difficile de se former à cause du confinement ? Les sessions virtuelles sont faites pour vous.

Les sessions virtuelles de Key Job s’articulent sous forme de cours interactifs de 3 heures 30 en petits groupes, et peuvent souvent être complétées par des modules d’e-learning.
Et en fin de parcours d’apprentissage de nouveaux tests permettent d’évaluer les acquis, et peuvent ouvrir la voie à des formations virtuelles complémentaires jugées nécessaires. Ainsi aucun collaborateur ne pourra se sentir « largué ». C’est une assurance tous risques contre la « fracture numérique ». 

Et comment gérer le stress créé par cette situation de crise et ces nouveaux modes de travail ?

En ces temps déstabilisants, il n’est pas toujours évident de trouver du sens et de conserver sa motivation au travail. Dans un contexte d’incertitude qui peut conduire à des pertes de repères, comment accompagner vos équipes, rassurer vos collaborateurs, leur donner confiance en eux et en leur mission, les rendre collaboratifs ? Comment les aider dans leur développement personnel et comportemental ?

C’est pour rencontrer ces besoins que Key Job a aussi adapté son offre de formation « soft skills » et développé différents modules de sessions virtuelles, animées par des consultants facilitateurs certifiés, y compris des coaching individuels.

Faisons tout pour rester un pays à la pointe.

Dans une récente étude réalisée par une agence internationale spécialisée en Marketing, plus de 60% des Indiens et 56% des Chinois, se déclarent optimistes quant aux avantages du télétravail pour la société, et ils accueillent avec enthousiasme toutes les technologies et modes de travail qui les aideraient à être plus productifs à distance. En revanche, seulement 30% des Européens y réagissent favorablement.

Le Luxembourg est souvent cité en exemple pour son organisation efficace et pour les performances de ses entreprises. Continuons à rester « front runners » et poussons nos entreprises à former en profondeur leurs salariés et cadres aux modes de travail d’aujourd’hui et encore davantage à ceux de demain. C’est un investissement indispensable pour notre futur.